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N-24-024-001 - NOTES - Classeur N - Fonds d'archives Baulin

N-24-024-001

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  • Des interviews exclusives de Dja-Apharou ISSA IBRAHIM, ami et confident de Jacques Baulin, responsable par donation de l’intégralité des documents constituant le fond, et président de l’association sont actuellement publiées dans la rubrique présentation.

  • Les trois ouvrages de J. Baulin : Conseiller du président Diori, La politique africaine d’Houphouët-Boigny et La politique intérieure d’Houphouët-Boigny
    seront disponibles sur le site en version iBook et en version Pdf dès septembre
    2009.















perspectives nigériennes


Mensuel - Novembre 1969


Sommaire


Les résultats heureux de la coopération franco-nigérienne


1
</cellule



Et ceux de la coopération canado-nigérienne


2



Les progrès de la francophonie


3



Intérêt du Japon pour l’uranium nigérien


3



Le problème de l’eau


4



Nouvelles brèves


4



Statistiques nigériennes


4

LES RESULTATS HEUREUX DE LA COOPERATION
FRANCO-NIGERIENNE...


La Grande Commission franco-nigérienne a tenu, du 24 au 27 novembre, à Niamey, sa deuxième session de 1969 ; la réunion précédente avait eu lieu à Paris les 8 et 9 septembre.


Comme l’avait déjà relevé M. Yvon Bourges, secrétaire d’Etat aux Affaires Etrangères, cette Grande Commission, dans la mesure où elle constitue un organisme spécifique de coopération nigéro-française, "est unique dans les rapports entre la France et les divers Etats africains et malgache". En effet, seul parmi les anciennes possessions françaises d’Afrique, le Niger a un tel statut privilégié sur le plan de organisation de ses rapports avec la France.


Cette Grande Commission avait été instituée par le Protocole d’accord passé le 16 octobre 1968 entre les gouvernements du Niger et de la France, et qui prévoit deux réunions par an, alternativement à Paris et à Niamey, chacune des délégations étant dirigée par des personnalités de rang ministériel. Et c’est en conformité avec ce Protocole que le gouvernement nigérien avait créé un "Fonds National d’Investissement" (F.N.I.) destiné à se substituer à l’ensemble des fonds et budgets d’équipements, et dans lequel le Niger s’est engagé à verser la totalité des ressources fiscales directes provenant de l’uranium. Mais ces ressources ne pourront être mobilisées qu’à partir de 1973, date de commercialisation effective de l’uranium d’Arlit.


Dans son discours d’ouverture, amical et franc, M.Courmo Barcougne, ministre des Finances et président de la délégation nigérienne, exposait succinctement les deux points à l’ordre du jour et précisait la position de son gouvernement à leur sujet.


Tout d’abord, le ministre nigérien relevait que " le Niger est décidé à utiliser pour son développement les ressources de l’uranium. Nous désirons que le Fonds National d’Investissement soit alimenté certes par le Niger, mais aussi par la France, principale bénéficiaire de l’exploitation de nos richesses en uranium". Après avoir relevé encore que "ce premier point de l’ordre du jour est fondamental dans nos négociations", il demandait pour 1970 une contribution française de un milliard de francs CFA à ce Fonds.


Au second point de l’ordre du jour figurait la participation de la France au programmé de développement du Niger dans le cadre habituel du Fonds d’Aide et de Coopération (F.A.C.) français. Sur ce second point, précisait le ministre nigérien, "le Niger souhaiterait obtenir, d’ici le 31 décembre 1970, des ouvertures de crédit pour environ 1800 000 000 de CFA d’opérations de développement, à quoi s’ajoutent environ 860 000 000 qui ont fait l’objet de décisions en septembre dernier, mais ne pourront pas, pour diverses raisons, être financées avant le 31 décembre 1969"...


M. Courmo Barcougne concluait en disant :



"La France est, pour nous, un partenaire privilégié, mais n’est plus le seul ; et je crois, Monsieur le Président, que vous vous féliciterez avec moi de cette diversification de l’aide extérieure..."


La réponse particulièrement chaleureuse du chef de la délégation française montrait qu’un très large accord existait entre les points de vue des deux parties


En effet, M. Bourges précisait d’abord que , conformément au voeu du Niger, désireux de faciliter les décisions, donc d’avoir des interlocuteurs qui ne soient pas toujours obligés de recourir aux échelons supérieurs, il était "le plénipotentiaire du gouvernement français" ; il ajoutait que "sa délégation avait reçu du gouvernement la charge de concevoir et de gérer les concours apportés à la République du Niger dans le cadre général de la coopération franco-nigérienne, mais aussi au titre des engagements particuliers de la France à l’égard du Niger".


En ce qui concerne la participation de la France au F.N.I. du Niger, M. Bourges rappelait que le principe en était acquis puisque le Président Pompidou avait écrit à ce sujet au Chef de l’Etat nigérien ; le ministre français précisait encore que sa délégation devait discuter précisément des modalités "de la mise en place de la contribution française au F.N.I."


La volonté de coopération amicale de la France apparaissait encore plus nettement dans l’exposé des grandes lignes de la position française sur les projets de développement librement présentés par la délégation nigérienne. M. Yvon Bourges déclarait en effet :



"S’il se trouvait que le gouvernement du Niger estime que tel objectif qu’il s’était proposé, n’est plus aujourd’hui prioritaire, et qu’il souhaiterait y substituer un autre projet, nous ne refusons pas de le faire ; cela me donne l’occasion de préciser que le gouvernement français n’a pas à délibérer, à décider de l’avenir du Niger. C’est le Niger, c’est le gouvernement nigérien, qui décide de ses options nationales, qui décide de ses objectifs, qui décide de ses programmes de développement..."


Le Chef de la délégation française tenait enfin à mettre fin à certaines rumeurs infondées en déclarant :


"Notre coopération n’est pas exclusive. Nous nous réjouissons de la diversification des aides reçues par le gouvernement du Niger."


Dans cette atmosphère générale de compréhension, les discussions entre les deux délégations aboutissaient rapidement à un accord. La France acceptait en effet d’apporter une contribution de un milliard de CFA - 4 000 000 de dollars - au F.N.I., hors du cadre traditionnel du Fonds d’Aide et de Coopération français (F.A.C.). Elle acceptait par ailleurs de participer, cette fois dans le cadre du F.A.C., au financement de différents projets soumis par le gouvernement nigérien, et ce pour un total de 1 500 000 000 de CFA (6 000 000 de dollars).

... ET CEUX DE LA COOPERATION CANADO - NIGERIENNE


Du 19 au 24 novembre, une délégation nigérienne conduite par M. Maîgana, Inspecteur d’Etat, a séjourné au Canada, où elle a eu des discussions tructueuses. tant à l’échelon politique qu’a celui de l’Agence Canadienne de Développement International (A.C.D.I.). La délégation nigérienne désirait faire le point de l’aide accordée par le gouvernement fédéral canadien au Niger avant la visite du Président Diori Hamani, et celle promise lors du séjour du Chef d’Etat nigérien au Canada en septembre dernier.


En ce qui concerne les projets du premier groupe, leur matérialisation est en bonne voie. Ainsi :
- les travaux d’agrandissement et d’équipement du collège Mariama (615 000 dollars) à Niamey ont effectivement commencé ;
- l’avion destiné à la prospection géophysique aéroportée (1 200 000 dollars) doit arriver, au plus tard, le 15 décembre 1969, au Niger ;
- les experts canadiens chargés d’étudier la mise sur pied de la protection des végétaux (535 000 dollars) ont déposé leur rapport, tandis que l’arrivée des premiers véhicules est prévue pour février 1970 ;
- l’étude préliminaire effectuée par des experts canadiens sur le gisement de phosphates de Tahoua a conclu à la rentabilité à 3.30 CFA, tandis que le superphosphate importé coûte prés de onze fois plus cher ; les experts d’Ottawa ont demandé des renseignements supplémentaires avant de se lancer dans ce projet dont la partie géologique coûtera 550 000 dollars et la partie industrielle 1 050 000 dollars ;
- dans le cadre de la protection du cheptel, le Canada, soucieux de préserver l’unicité du matériel utilisé, a accepté de financer l’achat en Grande Bretagne de 22 Land -Rovers ainsi des pièces de rechange équivalant à 15% de leur valeur. Le Canada fournira de son côté les remorques, ainsi que les systèmes électrogènes, le matériel de vaccination et les équipements frigorifiques nécessaires à la préservation des vaccins ;
- les cinébus et autres matériels destinés aux services du ministère de la Jeunesse et des Sports parviendront au Niger en février 1970.


Quant aux projets de développement soumis aux autorités fédérales lors de la visite du Président Diori au Canada, et qu’Ottawa avait accepté d’étudier avec le maximum de bienveillance, la délégation nigerienne a pu constater avec plaisir que études étaient poursuivies très activement.


Ainsi, un groupe d’ingénieurs et d’économistes canadiens partira fin janvier 1970 pour le Niger, afin d’étudier, sur place, la rentabilité économique de la Route de l’Unité (8 667 000) qui reliera la partie orientale du pays actuellement isolée du reste du Niger. Dans son évaluation, cette étude prendra en considération tous les paramètres, même ceux qui ne sont pas chiffrables.


Pour le barrage du W, les experts canadiens étudient l’avant-projet technique nigérien réalisé par la firme suisse Editec. Pour les études ultérieures, l’Agence Canadienne de Développement International envisage toutes les solutions d’ ensemble susceptibles à la fois de fournir de l’énergie à bon marché, de rendre le fleuve navigable et d’en utiliser les eaux pour l’irrigation. Des propositions concrètes seront faites par Ottawa dans le courant du mois de janvier


Le troisième des projets importants proposés lors de la visite du Président Diori, à savoir la création d’un Institut bilingue à Niamey, les autorités fédérales attendent l’accord de quelques pays voisins avant d’en entreprendre la matérialisation. D’ores et déjà, les gouvernements nigérian et ghanéen ont fait parvenir à Niamey leur accord de principe.


La délégation nigérienne a discuté par ailleurs des moyens de concrétiser rapidement une foule d’autres projets d’aide canadienne tels que l’envoi de conseillers auprès du Président Diori, l’envoi d’assistants techniques, la mise de bourses d’études à la disposition des jeunes Nigériens, la fourniture de produits pharmaceutiques, le renouvellement de l’aide en céréales, stc.


Avant de quitter Ottawa. la délégation nigérienne a rendu hommage à la nouvelle mais fraternelle amitié du Canada pour le Niger.

LES PROGRES DE LA FRANCOPHONIE


M. Jean-Marc Léger, secrétaire exécutif provisoire de l’Agence de Coopération des pays francophones créée en février dernier à Niamey, est arrivé le 29 courant dans la capitale nigérienne. M. J.-M. Léger était accompagné de quatre de ses plus proches collaborateurs.


Durant son séjour, il a remis au Président Diori Hamani, président en exercice de l’organisation francophone, un dossier volumineux comprenant, entre autres, un avant projet de statuts, des propositions concrètes d’action et un avant-projet de budget : des exemplaires de ce dossier seront mis à la disposition des pays représentés à la dernière conférence de la Francophonie.


D’autres problèmes ont été soulevés, tels que ceux du lieu et de la date de convocation de la prochaine conférence, comme celui des invitations.


Rappelons que la prochaine conférence sera d’une importance exceptionnelle, puisqu’elle doit établit - par la signature d’un document valable sur le plan du droit international - la naissance de l’organisation des Etats partiellement ou totalement francophones dispersés un peu partout dans le monde.

INTERET DU JAPON POUR L’URANIUM NIGERIEN


Au début du mois de novembre, une importante délégation japonaise comprenant des représentants des grandes sociétés productrices d’énergie et des compagnies minières du Japon a séjourné au Niger. Certains de ses membres, qui avaient rencontré le Président Diori Hamani lors de son passage à Tokyo quelques jours auparavant, ont eu des discussions avec les responsables nigériens à Niamey, tandis que d’autres visitaient le gisement le gisement d’uranium d’Artit.


Expliquant le but de la visite, un porte-parole de la mission japonaise a déclaré :


"L’industrie japonaise de l’énergie atomique est très intéressée par l’exploitation des gisements d’uranium du Niger. L’objectif de notre mission est de rechercher la possibilité de collaborer dans la recherche des minerais et de leur exploitation. Son Excellence le Président Diori Hamani a voulu cette collaboration aussi bien dans la recherche que dans l’exploitation et a indiqué qu’il recevrait notre mission au Niger... Nous pensons que, dans l’avenir, l’uranium sera la source la plus importante d’énergie électrique. Le Japon a donc besoin de grandes quantités d’uranium mais il en possède très peu sur son sol ; il donc s’approvisionner ailleurs.



Les industries minières et électriques japonaises, a-t-il affirmé, ont déjà une expérience de la recherche et de l’exploitation en commun de l’uranium au Canada et aux Etats -Unis. Elles ont organisé une mission pour vérifier la possibilité d’une semblable collaboration au Niger.


"Notre chef de mission déclare-t-il, M. Suzuki, est le directeur de la Dowa Mining, l’une des plus importantes compagnies minières du Japon ; il est actuellement à Arlit et dans ses environs avec une autre partie de la mission composée de géologues et mineurs. Il est en train d’étudier les conditions actuelles du travail du C.E.A. et de la SOMAIR dans ces régions."


Il a conclu en disant : "Nous voulons redire notre grand d’aboutir à une collaboration avec le Niger et la France dans la recherche et l’exploitation du minerai d’aluminium qui est la grande richesse de votre pays et nous souhaitons ainsi avoir une part importante dans le développement de l’économie nigérienne."


A l’issue du séjour à Paris de la mission japonaise, le Commissariat à l’Energie Atomique diffusait, le 15 novembre, un communiqué annonçant la visite au Niger et en France d’une mission du "Japan Industrial Atomic Forum" en vue de participer avec le C.E.A. à une éventuelle recherche d’uranium au Niger.


Le même jour, à Tokyo, M. Shiro Kiuchi, ministre de la Science et de la Technologie, de retour d’Europe, estimait que :



" Les relations entre la France et le Japon sont arrivées au point où un accord entre les deux pays sur l’énergie atomique est nécessaire."


M. Kiuchi a indiqué ensuite que la France avait proposé de vendre au Japon de l’uranium et du plutonium, mais qu’il existe un certain nombre de problèmes, notamment le fait que la France est opposée au traité de non-prolifération nucléaire alors que le Japon envisage de le signer.

LE PROBLEME DE L’EAU


La solution est d’autant plus difficile - et onéreuse - à trouver, que les 700 millimétrés de pluies dont le ciel gratifie le Niger chaque année, sont concentrés sur les trois ou quatre mois d’hivernage, entre juin et septembre. Les torrents éphémères créés alors, se perdent bientôt dans les sables et une sécheresse sans pitié sévit durant le reste de l’année.


L’objectif du gouvernement, tout en étant bien modeste, reste encore hors de portée : il s’agit d’assurer à chaque Nigérien, une ration de 30 litres d’eau par jour à moins d’un kilomètre de 30 litres d’eau par jour à moins d’un kilomètre de distance.


Pour essayer d’atteindre ce but, le Niger - grâce au Budget national, aux budgets des circonscriptions, à l’aide généreuse du Fonds Européen de Développement et du Fonds d’Aide et de Coopération français - a investi dix milliards de CFA pour construire, entre 1958 et 1968, 2 000 puits cimentés. Suivant le programme en cours, le Marché Commun, à lui seul, entreprendra la construction de 514 nouveaux puits en zones rurales.


Par ailleurs, le gouvernement s’est lancé dans la construction de petits ouvrages en terre destinés à barrer le lit des cours d’eau nés durant la saison des pluies, afin de constituer des réserves d’eau susceptibles de servir à satisfaire les besoins des hommes et du cheptel, tout au moins durant les premiers mois de la saison sèche.

STATISTIQUES NIGERIENNES
L’évolution du budget national


RECETTES


DEPENSES



Années


Total


Années


Total


dont




dont


Education


Santé


Intervent


Dettes



Impôts forfaitaires


Douanes


Publiques




1957


3090


1083


-


1957


2 864


260


309


600


6


1958


4 311


1 143


446


1958


3 193


403


420


518


21


1959


5 136


1 217


1 259


1959


4 521


515


562


879


49


1960


5 697


1 167


1 643


1960


5 694


483


514


1 388


42


1961


4 879


1 242


1834


1961


5 180


533


516


1 077


44


1962


5 395


1 240


1 893


1 962


5 420


484


425


1 639


43


1963


6 217


1 489


2 342


1 963


6 639


697


574


1 570


80



1 964


6 658


1 552


3 064


1 964


6 235


681


543


1 030


200


1 965


7 452


1 765


3 091


1 965


7 221


693


463


1 373


299



1966


8 693


2 133


3 841


1 966


8 538


749


487


2 079


476


1967


9 127


3 381


3 810


1 967


9 592


865


610


2 184


534



1968


9 587


2 566


3 758


1 968


9 793


991


669


2 201


387

NOUVELLES BREVES


Sur invitation du Chef de l’Etat, M. Moktar Ould Daddah, président de la République islamique de Mauritanie, effectuera une visite officielle au Niger du 16 au 28 décembre 1969.


Le Chef de l’Etat mauritanien, qui sera accompagné de M me Ould Daddah, et de plusieurs autres personnalités, assistera à Niamey aux cérémonies marquant la fête nationale du Niger et visitera ensuite successivement Tahoua, Tchintabaraden, In Gall, N’Guimi, Diffa, Mainé, Zinder, Maradi et Dosso.


Au cours de son séjour à Vienne, M.Abdou Sidikou, secrétaire d’Etat chargé des Affaires Etrangères, a eu des discussions tant avec les responsables de la diplomatie autrichienne qu’avec ceux de la coopération.


Le 20 novembre, M. Mahamadou Sani Kontagora, premier ambassadeur du Nigeria au Niger, présentait ses lettres de crénce au Président Diori Hamani.


M. Mouddour Zakara, ministre des Affaires Sahariennes et Nomades, est rentré au Niger le 23 novembre. Faisant partie de la délégation qui accompagnait le Président de la République lors de son périple en Asie, il avait prolongé son séjour au Pakistan pour y visiter certaines réalisations tendant à mettre en valeur les régions désertiques.


Le 30 novembre, une cérémonie a marqué, à Boubon, petit village des environs de Niamey, la cent millionième vaccination contre la variole effectuée dans le cadre de la campagne lancée par l’US.AID et embrassant l’ensemble de l’Afrique Occidentale. M. John Hannah, administrateur de cet organisme américain, et son adjoint, M. Samuel Adams, ancien ambassadeur au Niger, avaient tenu à être présents à cette cérémonie.


Le chef touareg Alam Djaji a participé à Bruxelles à l’émission spéciale organisée par la Radio - Télévision belge à l’occasion du vol d’Apollo Xll. Le chef touareg a agrémenté cette émission en contant des légendes du désert, dans lesquelles la lune a toujours constitué la source principale d’inspiration.



Edité par EURAFOR-PRESS, 13 bis, rue Laffite - Paris (9°)
pour le Centre d’Information du Niger


Directeur de la Publication : M. Maraval.
Rédacteur en Chef : J. Baulin.


Abonnement annuel : 30 francs


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