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N-24-035-001 - NOTES - Classeur N - Fonds d'archives Baulin

N-24-035-001

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  • Des interviews exclusives de Dja-Apharou ISSA IBRAHIM, ami et confident de Jacques Baulin, responsable par donation de l’intégralité des documents constituant le fond, et président de l’association sont actuellement publiées dans la rubrique présentation.

  • Les trois ouvrages de J. Baulin : Conseiller du président Diori, La politique africaine d’Houphouët-Boigny et La politique intérieure d’Houphouët-Boigny
    seront disponibles sur le site en version iBook et en version Pdf dès septembre
    2009.















perspectives nigériennes


Mensuel - Mars 1971


Sommaire


La coopération franco-nigérienne


1


La SEPANI : une association d’un genre nouveau


2


Un canadien à l’honneur


2


Visite d’un chef religieux libyen


2


Pour la promotion des entreprises nigériennes


2


l’École nationale d’Administration


3


Le dynamisme du mouvement coopératif


4


Message au Corps de la Paix


4


Au Niger en mars 1971


4

LA COOPÉRATION FRANCO-NIGÉRIENNE


La cinquième réunion de la Grande Commission franco-nigérienne, instituée dans le cadre des accords du 16 octobre 1968, a eu lieu à Niamey les 25 et 26 mars.


M. Moudour Zakara, ministre des finances et chef de la délégation nigérienne, a fait état, dans son discours, de la politique d’assainissement budgétaire entreprise par le gouvernement et qui à déjà donné des fruits. Mais il a relevé immédiatement qu’une perturbation de la fiscalité pourrait porter atteinte à ces résultats. Le ministre à insisté ensuite sur la nécessité d’une refonte des accords de coopération franco-nigérienne, signé pour cinq ans, en avril 1961, afin de les adapter à la situation présente, car, a-t-il précisé, " la vie est changement et notre coopération est vivante ".


Après avoir reçu le projet de refonte des accords de coopération du ministre nigérien des Finances, M. Yvon Bourges, secrétaire d’ État aux Affaires Étrangères et chef de la délégation française, s’est félicité de l’élargissement et de l’approfondissement de la coopération entre les deux pays et a réaffirmé que celle-ci " ne peut, en aucune manière, prétendre à une exclusivité ".


Les deux délégations ont étudié les divers problèmes à l’ordre du jour, tel que la création d’un Centre d’Enseignement supérieur scientifique à Niamey et le problème de l’assistance technique française qui devra " passer du stade de la gestion à celui de formation des cadres nigériens ". Elles ont, de plus, analysé les résultats obtenus, lors des réunions des 22 et 23 mars, à l’échelon technique, de la commission paritaire en matières économiques et financières. Enfin, comme le relève entre autres, le communiqué officiel publié à l’issue des travaux, " les deux délégations ont arrêté d’un commun accord le programme d’aide française au Niger pour l’année 1971 ".


A l’issue des réunions de la Grande Commission, M. Yvon Bourges a déclaré dans une conférence de presse :


" Quand on considère comment le Niger a débuté, quand on voit comment il a su s’affirmer, chez lui d’abord puis en Afrique et dans le monde, je puis le dire, on ne peut pas ne pas être confiant. "


Trois semaine avant cette réunion, deux conventions de financement, dans le cadre de l’aide au titre de 1970, avaient été signées à Niamey.


La première, d’un montant global de 320 950 000 francs de CFA, prévoit une participation française de :



- 40 000 000 francs de CFA pour l’extension et l’aménagement du bloc technique de l’aérodrome de Niamey ;


- 23 000 000 francs de CFA pour la construction et l’équipement d’un bloc technique à l’aérodrome de Maradi ;


- 50 000 000 francs CFA pour l’extension de l’ École normale de Zinder ;


- 105 000 000 francs CFA pour l’aménagement et l’extension du lycée technique de Maradi ;


- 24 350 000 francs CFA pour la construction des bâtiments du centre de recherches et de documentation sur la tradition orale dans la vallée du Niger ;


- 18 700 000 francs CFA pour la construction et l’équipement d’un centre social de protection maternelle et infantile à Niamey ;


- 11 500 000 francs CFA pour l’aide à l’association des Radio-Clubs du Niger ;


- 18 400 000 francs CFA pour l’équipement de télécommunications pour Arlit :


- 30 000 000 francs CFA pour l’équipement technique des hôpitaux de Niamey, Zinder, et centres hospitaliers de Dosso, Maradi et Agadez.


La seconde, pour la construction de l’aérogare de Niamey, porte sur un prêt à long terme de 100 millions de francs CFA, remboursables en vingt ans.

LA S E P A N I : UNE ASSOCIATION D’UN GENRE NOUVEAU


La pose de la première pierre de l’huilerie de la société germano-nigérienne SEPANI a eu lieu le 18 avril à Mariaga, dans la partie orientale du Niger. Y ont assisté notamment MM. Kaziendé, ministre de l’ Économie, Amadou Issaka, ministre délégué à la présidence, Maitouraré Gadjo, directeur du cabinet du président de la République et président de la SEPANI, les ambassadeurs d’ Allemagne et des États-Unis, MM. Arnold Mergell et Marius Stritzi, M. Geodeler, du ministre allemand de la Coopération, ainsi qu’un représentant de la Chase Manhattan Bank.


La caractéristique de cette entreprise industriel est d’innover en de très nombreux domaines. Ainsi ce sera la première grande huilerie du Niger, puisqu’elle triturera 56 000 tonnes de graines d’arachides et produira 19 000 tonnes d’huile brute ; il s’agit de la première initiative du secteur industriel allemand au Niger et même en Afrique francophone ; c’est la première fois qu’une banque privée américaine - la Chase Manhattan - participe financièrement avec 65 000 000 de francs CFA, à une entreprise au Niger ; c’est la première fois que l’on voit la gouvernement nigérien associé, pour un tiers, au capital d’une entreprise industrielle privée, et qui plus est grâce à une subvention de la C.E.E. ; c’est la première fois qu’un projet est matérialisé de façon aussi rapide, puisque la prise de contact préliminaire date de 18 mois et que l’huilerie commencera à fonctionner dès septembre 1972. C’est la première fois que les prix donnés ne bougent pas et ne bougeront pas en dépit de la réévaluation du D.M. de la dévaluation du franc et de la hausse des prix. Enfin, c’est la première fois que des promoteurs acceptent que le prix et l’état de neuf du matériel livré soient contrôlés par un organisme de réputation internationale.


L’huilerie de Magaria nécessitera un investissement global de 900 millions de francs CFA, emploiera 150 Nigériens ainsi que quatre ou cinq techniciens allemands, et la commercialisation de toute la production sera à la charge du groupe allemand.

UN CANADIEN À L’HONNEUR


M. André Saumier, haut fonctionnaire canadien détaché à la présidence de la République du Niger, en tant que conseiller économique du Chef de l’ État, est entré dans son pays après un séjour de huit mois à Niamey. Le 28 mars, au cours d’un cocktail offert en son honneur au palais présidentiel, le Chef de l’ État mettait en relief le rôle éminent de M. André Saumier, rendait hommage à la coopération nigéro-canadienne et lui remettait, personnellement, les insignes d’officier de l’ Ordre national, pour services exceptionnels rendus au Niger.


Dans sa réponse, M. André Saumier se disait convaincu que le geste présidentiel s’adressait, à travers lui, à tous ceux qui viennent du canada et travaillent pour le Niger. Et il concluait en disant : J’i appris ici des leçons de fierté, de noblesse, et j’en sors grandi."

VISITE D’UN CHEF RELIGIEUX LIBYEN


Le Cheik Mahmoud Sobhi, grand mufti de Libye, est arrivé au Niger le 4 mars, pour repartir vers Tripoli le 11. Durant son séjour, il a visité plusieurs villes de l’intérieur et a fait don aux écoles arabo-islamiques du Niger de 28 000 volumes et d’une somme d’un million de dollars.

POUR LA PROMOTION DES ENTREPRISES NIGÉRIENNES


M. Léopold Kaziendé, ministre des Affaires Économiques du Commerce, de l’industrie et des Mines, accompagné de son collègue de l’ Économie Rurale, a rendu visite, le 12 mars, à la Chambre de Commerce, d’ Agriculture et d’ Industrie du Niger.


Dans son discours de bienvenue, le président de cet organisme a déclaré notamment :


" Le souci qui nous anime est de pouvoir contribuer à l’effort commun. Nous voudrions dire au gouvernement combien est grande et sincère notre volonté de collaboration. dans un Niger qui se construit chaque jour, les entreprises commerciales, agricoles et industrielles occupent une place prépondérante : elles assurent plus de vingt mille emplois salariés, augments de la masse des agriculteurs et éleveurs, et versent la majeure partie des recettes budgétaires. faire confiance au Secteur Privé est lui permettre d’apporter aus pays l’expérience des affaires, l’assistance aux petites entreprises nationales, les capitaux nécessaires à la croissance économique. "


Dans sa réponse, M. Léopold Kaziendé, tout en reconnaissant l’utilité de consulter le secteur privé au stade de l’élaboration des projets de développement, a insisté en particulier sur la nécessité " d’aboutir à la multiplication et à la promotion croissante des Nigériens aux tâches d’encadrement et de direction dans les entreprises privées contrôlées par des non-nigériens. "

L’ÉCOLE NATIONALE D’ADMINISTRATION


Au moment de l’indépendance, le Niger - enfant pauvre de la colonisation - était sous-administré puisque la Fonction publique comprenait au total :



248 " cadres généraux ", dont 66 Nigériens


749 " cadres supérieurs ", dont 555 Nigériens, et


2 212 " cadres locaux ", dont 1 503 Nigériens.


La situation a évolué depuis, puisqu’au 31 décembre 1970 on comptait mis à part les 7 928 auxiliaires, 4 420 fonctionnaires répartis hiérarchiquement de la façon suivante :



171 fonctionnaire du cadre A,


738 du cadre B,


1 228 du cadre C,


1 776 du cadre D,


507 du cadre E ( en voie d’extinction ).


Mais - chose d’une importance capitale - cette progression numérique s’est accompagnée d’une évolution qualitative du niveau de la Fonction publique grâce à la création par le gouvernement, en juin 1960, du " Centre de Formation administrative ", transformé le 30 septembre 1965 en " École nationale d’ Administration ".


Durant la première phase, en dépit de ses moyens réduits - les crédits disponibles entre 1960 et 1965 et provenant seulement du budget de l’ État ont totalisé 43 066 000 francs CFA -, le Centre de Formation administrative réussissait à former 109 cadres affectés à l’administration générale, aux services financiers et judiciaires, aux douanes et aux régies.


La seconde phase, qui commencera alors pour se terminer le 1 er octobre 1970, correspond à celle du projet d’assistance du Programme des nations Unies pour le Développement ( P.N.U.D. ). C’est durant cette période qu’est créée l’ École nationale d’ Administration ( E.N.A. ), conformément au décret du 29 août 1963. Elle est devenue, durant ce court laps de temps, le principal fournisseur des cadres du secteur public comme de l’ensemble du secteur tertiaire mixte et privé. Le 30 septembre 1970, le nombre d’élèves formés ou en formation s’élevait à 541.


Le décret de création faisait suite à une étude approfondie sur les besoins de formation et de perfectionnement du Niger ; sur la base de cette étude également, le P.N.U.D. acceptait de financer le développement et l’équipement de l’ E.N.A. pendant cinq ans.


Enfin un décret en date du 22 janvier 1970 faisait de l’ E.N.A. un établissement public de l’ État doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière.


Chargée de la formation et du perfectionnement des petits et moyens cadres, l’ E.N.A. dispense un enseignement à deux niveaux. Le premier ( deux années de scolarité ) comprend les sections de comptabilité commerciale et de dactylographie, tandis que le niveau moyen ( deux ou trois ans de scolarité ) comprend des sections :



- D’administration générale ;


- Des services financiers ;


- Judiciaire ;


- Des douanes et régies ;


- De comptabilité et de gestion des entreprises ;


- De secrétariat.


La formation dispensée par l’ E.N.A. est assez originale dans la mesure où elle déborde très largement les aspects strictement professionnels pour inculquer à ses élèves un sens civique profond, la notion de service de l’ État, la compréhension intelligente des hommes et des groupes sociaux, et la nécessité de se transformer en moteurs du développement économique et social.


L’ E.N.A. a innové également dans le domaine de l’enseignement en compressant le domaine des cours théoriques et en élargissant celui des travaux pratiques. Ainsi, en troisième année de scolarité, la théorie est limitée à 20 % du temps d’études, tandis que le dialogue, la participation, les discussions, l’appel à la curiosité et l’initiative personnelle tiennent une très large place.


le gouvernement, conscient de l’importance de l’ E.N.A., a fait un effort particulier de financement, tout en faisant appel aux apports extérieurs. de 1965 à 1970, la formation des petits et moyens cadres a nécessité une mise de fonds globale de plus de 590 000 000 de francs CFA dont le financement a été réparti comme suit :



- Gouvernement du Niger 40,62 %


- P.N.U.D. 27,41 %


- FAC ( français ) 25,20 %


- US_AID 1,74 %


- Fonds Européen de Développement 1,05 %


- Fonds de la Chambre de Commerce 3,36 %


Ce dernier fonds est constitué par les participations directes des entreprises des secteurs mixte et privé de l’économie au coût de la formation des cadres qui leur sont destinés.


Sur le plan des dépenses, il convient par exemple de relever que sur un budget total de 88 millions de francs CFA en 1970, 41 000 000 ont servi à rémunérer les personnels enseignants et complémentaires et 29 000 000 pour couvrir les allocations d’études des élèves.


les résultats obtenus par le Centre de Formation administrative et son successeur l’ École nationale d’ Administration, en dix ans, sont regroupés dans le tableau ci-dessous :


Effectif des élèves


Sections


Admis


Diplômés


Certifiés


En cours
d’études


Exclus
ou radiés.


Niveau moyen


Administration générale


139


50


37


18


34


Services financiers


117


29


31


22


35


Judiciaire


69


24


17


10


18


Douanes et régies


27


11


8


4


4


Postes et Télécommunications


50


16


10


15


9


Comptabilité et gestion des entreprises


18


-


-


15


3


Secrétariat - sténodactylographie


57


4


26


13


14


Génie civil


27


-


20


-


7


Police


5


-


-


-


5


TOTAUX niveau moyen


509


134


149


97


129


Niveau élémentaire


Comptabilité commerciale


76


-


35


20


21


Dactylographie


65


-


35


15


15


TOTAUX niveau élémentaire


141


-


70


35


36


TOTAUX GÉNÉRAUX


650


134


219


132


165

LE DYNAMISME DU MOUVEMENT COOPÉRATIF


De l’avis des experts, qu’ils soient plus ou moins marxistes ou non, le mouvement coopératif nigérien est l’un des plus démocratique et des moins fonctionnarisés d’ Afrique. la nécessité absolue de " coller au paysan " , de le persuader, d’obtenir sa libre adhésion avant toute initiative, on servi de thèmes de base à la première réunion des cadres de l’Union Nationale de Crédit et de Coopération, créée en 1962, et qui s’est tenue à Niamey entre le 18 et le 22 mars.


Le Dr bembello Harouna, secrétaire d’ État à l’ Économie Rurale, a insisté sur ce point en déclarant à la séance de clôture :


" Votre philosophie de l’action doit être la sueur. Pas de discours, pas de slogans, mais toujours la démonstration. Votre rôle, votre place est à côté du paysan et c’est par un contact profond avec le paysan que vous pouvez connaître ses réalités et acquérir son adhésion. Les possibilités qui nous sont offertes actuellement par la science et la technique en dépendent. "


Il est relever que dans le système en vigueur au Niger, les administrateurs des organismes coopératifs ne sont pas imposés de l’extérieur, mais choisis - et contrôlés - démocratiquement par les coopérateurs eux-mêmes.


dans sa conclusion, M. Ahmed Mouddour, directeur de l’ U.N.C.C. a dit à ses cadres : " il faut absolument donner la parole au paysan pour qu’il exprime ses besoins et qu’il évalue la portée de notre action ".

MESSAGE AU CORPS DE LA PAIX


Le 1 er mars, à l’occasion du Xe anniversaire du Corps de la Paix et de la présence, depuis 1962, des volontaires de cette organisation américaine au Niger, le président Diori hamani a envoyé un message à son directeur général M. Joseph Blatchford. On lit notamment :


" Le Corps de la Paix nous a apporté une aide non négligeable, contribuant à résoudre certains de nos problèmes les plus immédiats dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’agriculture.


" Lors de mes voyages à travers le pays, j’ai - ajoute-t-il - toujours été impressionné de voir comment, jusque dans les villages les plus éloignés, les volontaires du Corps de la Paix savaient partager intimement la vie de nos paysans, travaillant avec eux au coude à coude, s’expriment dans leur langage, s’initiant à leurs coutumes, en un mot s’efforçant de devenir leurs,


" Depuis neuf ans que le Corps de la paix apporte à mon pays son concours généreux, j’ai toujours tenu à maintenir - conclut le président - un contact personnel avec les volontaires, ses dirigeants, ses programmes ".

AU NIGER EN MARS 1971


5 - Arrivée au Niger, pour un séjours de deux semaines, de M. Geordeler, du ministère de la Coopération de la République Fédérale Allemande.


6 - Arrivée à Niamey de M. Addeke, directeur de la F.O.A. et de son épouse, pour une visite de quatre jours au Niger.


13 - le Conseil des Ministres adopte un projet de décret accordant un permis exclusif de recherches minérales - y compris l’uranium et l’or - s’étendant sur 29 000 km2, à la société américaine Bishop Oil and Refining Colpany, de Phoenix, Arizona.


15 - Signature à Niamey d’une convention de longue durée, entre le Niger et la Texaco, qui fixe les conditions de la recherche et de l’exploitation des hydrocarbures au Niger. cette société avait reçu, le 5 décembre 1969, un permis de prospection d’hydrocarbures liquides et gazeux pour cinq ans et portant sur 290 000 km2. Durant ce laps de temps, la Texaco est tenue d’investir 1 600 000 000 de francs CFA.


18 - A l’occasion de son élection à la présidence du Parlement Européen, M. Walter Behrendt a reçu des messages de félicitations du chef de l’ État et du Président de l’ Assemblée Nationale.


19 - Signature d’une convention germano-nigérienne portant sur 667 000 000 de francs CFA et relative à l’extension du système d’adduction d’eau et de fournitures d’énergie électrique à la ville de Zinder.


20- L’Agence Internationale pour le Développement annonce de Washington que le Mali, la haute Volta, le Sénégal et le Niger, qui ont eu des récoltes insuffisantes de produits vivriers, recevront 62 000 tonnes de mil, de sorgho et de maïs dans le cadre du programme " Vivres pour le Paix ".


23 - Arrivée au Niger, en mission officielle, de M. Wirsing, du fonds Européen de développement, pour étudier sur place la possibilité de compenser, dans une certaine mesure, les pertes subies, à la suite de la sécheresse catastrophique de 1968, par le cheptel nigérien.


26 - Arrivée à Niamey d’une délégation économique roumaine venue étudié les possibilités d’échanges commerciaux entre les deux pays. Elle a été reçue en audience, le 29 mars, par le chef de l’ État.


Édité par EURAFOR PRESS
Pour le Centre d’ Information du Niger
13 bis, rue Laffite - Paris - IX e


Directeur de la Publication : M. Maraval
Rédacteur en Chef : J. Baulin


Abonnement annuel : 30 francs


Imprimé par Abexpress, 72, rue du Château d’ Eau, Paris - 10 e

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